Catégorie : MGS

  • Infection génitale à HPV et lésions pré-cancéreuses du col de l’utérus

    1) Généralité 1A Déf : infection génitale liée au papillomavirus humain HPV. Cette infection est principalement une IST, mais il existe d’autres modes de transmission. 1A Elle a la particularité d’être une condition nécessaire au développement de lésions pré-cancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus. 1C Les infections cutanées à HPV, et l’évolution des lésions […]

  • Condylome

    1) Généralités 2 Déf :  les condylomes sont des tumeurs bénignes associées à des papillomavirus humain (PVH) à faible risque oncogène (6 et 11) Physiopathologie voir fiche infection génitale à HPV Epidémiologie 1 : – prévalence en augmentation (pays développés ++)- sujets de 16-25 ans +++ (prévalence de 5% en dessous de 25 ans) Mode de transmission – transmission […]

  • Arthrite septique

     1) Généralités 1 Déf : prolifération intra-articulaire d’un micro-organisme cultivable.  Physiopathologie 2   : la réaction inflammatoire est responsable de lésions intra-articulaires comme la destruction de la synoviale puis du cartilage (chondrolyse). Ces lésions engagent le pronostic fonctionnel. Epidémiologie  : incidence annuelle = 5 cas/100000 Etiologies 2 > Voie hématogène  – Staphylococcus aureus (66%)  – ± Staphylococcus epidermidis 1  – Streptocoques (20%)  1  […]

  • Jeu pathologique

    1) Généralité 1 Déf : Le jeu pathologique ou jeu d’argent pathologique est une addiction comportementale où le sujet use des jeux de hasard et d’argent (JHA) de façon incontrôlée, en connaissance des effets néfastes de ce comportement. Physiopathologie : La physiopathologie est la même pour tous les types d’addictions comportementales. (Cf. Fiche addiction aux jeux vidéo […]

  • Hyperhydratation extra-cellulaire

    1) Généralités 1B Déf : l’œdème généralisé désigne la manifestation clinique d’une rétention hydrosodée dans le tissu interstitiel. On parle d’anasarque en cas d’œdèmes généralisés avec épanchements des cavités séreuses pleurales et péritonéales (ascite) Urgences 0 :  Etiologique clinique Décompensation d’une cirrhose ou d’une insuffisance cardiaque insuffisance rénale sévère  Anasarque Diagnostic positif :  clinique paraclinique rétention hydrosodée > 3% […]

  • Luxation postérieure de l’articulation gléno-humérale

    1) Généralités 1 Déf : Perte de contact entre la tête humérale et la glène scapulaire avec la tête qui passe en arrière de la glène 0. Rappel anatomique : voir la fiche « anatomie de l’épaule » Epidémiologie : Les luxations postérieures représentent 1 à 4% des luxations de l’épaules. Etiologies- Accidents sportifs- Accidents du travail ou de […]

  • Syndrome d’Usher

    1) Généralités 2 Déf : le syndrome d’Usher (SU) est caractérisé par l’association d’une surdité de perception bilatérale et d’une rétinite pigmentaire (RP). On en décrit actuellement 3 types selon l’âge d’apparition et les signes associés- Type 1 :  surdité congénitale sévère, RP avant ou pendant l’adolescence, aréflexie vestibulaire- Type 2 3 : surdité congénitale […]

  • Syndrome de Joubert

    1) Généralités 2 Déf : le syndrome de Joubert (SJ) est une maladie génétique de la famille des ciliopathies. Sa définition est neuro-radiologique : association d’une hypotonie, d’un retard de développement et d’une malformation cérébelleuse / du tronc cérébral spécifique à l’origine du signe de la molaire. Le SJ est caractérisé par une grande variabilité […]

  • Anomalie de la torsion des membres inférieurs

    1) Généralités 2 Déf 1A : Dans le plan transversal, il existe physiologiquement une antétorsion fémoral et une torsion tibiale externe. Une anomalie des valeurs de torsion fémorale et/ou tibial peut apparaitre au cours du développement. Celle-ci se traduit au niveau clinique généralement par une démarche en rotation 3 :- rotation interne : démarche avec […]

  • Echinococcose alvéolaire

    1) Généralités 1A Déf : cestodose larvaire due à Echinococcus multilocularis. Physiopathologie – Tumeur à diffusion racémeuse au développement anarchique, envahissante, comprimant et diffusant dans les canaux biliaires ainsi que dans les vaisseaux intra-hépatiques. – La forme larvaire est une prolifération infiltrative pseudo-tumorale, de structure polykystique à pouvoir nécrotique puissant, qui diffuse rapidement dans les tissus voisins.- Il se […]