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Sous-titre

Lupus érythémateux systémique

LES

Fiche MGS
Une Fiche MedG Maladie et Grand Syndrome
X Fiche non-relue par un tiers, créée le 15/11/18.

Médecine interneImmunoDermato
Fiche réalisée selon un plan MGS modifié
Item ECNi 190


Dernières mises à jour
– Novembre 2018 : mise à jour des sources Assim, COFER et CEDEF. Modifications mineures (Vincent)
– Août 2017 : ajout de la source CUEN, intégration du PNDS 2017, réorganisation importante et création d’une fiche séparée pour les critères ACR et SLICC (Vincent)
– Mars 2017 : création de la fiche (Vincent)
Sources
0 : source isolée (prof en cours, site web) ou non identifiable
1A : Assim 2e édition 2018 (référentiel d’immunopathologie – indisponible en ligne, lien vers l’édition 2010)
1B : COFER 6e édition 2018 (référentiel de rhumatologie – indisponible en ligne, lien vers l’édition 2015)
1C : CEDEF 7e édition 2017 (référentiel de dermatologie)
1D : CUEN 7e édition 2016 (référentiel de néphrologie)
2 : Protocole national de diagnostic et de soins HAS 2017
Sommaire
1) Généralité
2) Diagnostic
– A) Clinique
– B) Paraclinique
– C) Synthèse : critères diagnostiques et formes particulières
3) Evolution
– A) Histoire naturelle / pronostic
– B) Complication
4) PEC
– A) Bilan
– B) Traitement

1) Généralité 1A

Déf : maladie auto-immune systémique liée à des dérèglements pouvant concerner l’ensemble des acteurs du système immunitaire, aboutissant à une réaction dirigée contre des antigènes nucléaires.

Physiopathologie : l’auto-immunité lupique s’explique par des dépôts non-spécifiques de complexes immuns dans les organes prédisposés (rein, peau, articulations), et la formation locale de dépôts d’immuns complexes ciblant des auto-Ag spécifiques d’organes (rein, peau…) 1B

Susceptibilité génétique : formes familiales (10-15%)
– Gènes HLA de classe 2 : DR2 et DR3
– Déficits complets en C1q, C2, complets ou non en C4
– Autres polymorphismes impliqués : FcγRII et FcγRIII, PTPN22, STA4…

Facteurs environnementaux déclenchants / aggravants
– Rayons UVB : manifestations cutanées et systémiques
– Médicaments = lupus induit
– Tabac : inflammation chronique
– Infectieux (discuté) : EBV, CMV, parvovirus B19 1B
– Grossesse

Epidémiologie 2
– Prévalence : 41 cas / 100.000 hab en France, incidence : 3-4 cas / 100.000 hab /an
– Prédominance féminine ++ : sex-ratio = 9, probablement lié à un facteur hormonal
– 2/3 des cas surviennent entre 16 et 55 ans 1A
– Prévalence plus forte aux Antilles (127/100.000 en Martinique 2), plus faible dans les populations noires africaines 1B

Etiologies associées : le LES peut s’accompagner d’autres pathologies
SAPL ++
– Thyroïdites (Hashimito) 2
Maladie de Biermer 1B
– Syndrome de Gougerot-Sjogren et autres connectivites 1C
– Syndrome de Sharp = connectivite mixte 0 : arthromyalgies avec Raynaud et doigts boudinés, et titre de FAN élevé (anti-RNP). Peut rester stable dans le temps ou évoluer vers une connectivite mieux définie.

2) Diagnostic

Le diagnostic de LES impose 4 critères ACR ou SLICC, mais les formes débutantes réunissant moins d’items sont parfois appelées syndromes « lupus-like ». 1A

Clinique + paraclinique 2
≥ 4 critères SLICC dont au moins 1 clinique et 1 immunologique / ≥ 4 critères ACR
Ou une histologie de glomérulonéphrite lupique avec des AAN ou Ac anti-ADN

A ) Clinique 1B

Anamnèse : présentation variée, protéiforme !
– Rechercher des facteurs déclenchants / aggravants
– ATCD personnels et familiaux de lupus érythémateux et/ou de pathologies associées

  • Manifestations articulaires et osseuses (60-90%)

> Atteintes articulaires : souvent migratrices et fugaces
– Polyarthrite non-destructrice touchant surtout les genoux, poignets, doigts dont IPD, monoarthrite rare
– Arthralgies des petites articulations (doigts et poignets)
– Ténosynovite des fléchisseurs des doigts
– Sd de Jaccoud (exceptionnel) : déformation des doigts par subluxation

> Atteintes musculaires
– Myalgies, faiblesse musculaire
– Myosites, atrophie musculaire (rare, souvent associé aux Ac anti-RNP)

> Atteintes osseuses (rares) : ostéonécrose de la tête fémorale / humérale, habituellement induite par la corticothérapie

  • Signes généraux (50-80%)

Fièvre, asthénie et anorexie sont des signes d’évolutivité de la maladie

  • Manifestations dermatologique 1C (60-75% 1B)

> Lésions lupiques spécifiques

Lupus érythémateux aigu : photosensibilité +, évolution en parallèle des poussées
– Erythème en vespertilio (« face de loup ») : touche les joues et le nez, épargne les sillons nasogéniens et les paupières, bordure émiettée
– Erosions muqueuses, essentiellement buccale
– ± forme diffuse morbiliforme, papuleuse, éczématiforme voire bulleuse 0
– ± érythème des mains : face dorsale des zones interarticulaires, parfois pulpite érosive

Lupus érythémateux subaigu : photosensibilité +++, évolution indépendante des poussées
– Lésions érythémateuses, maculeuses ou papuleuses
– Evolution : lésions annulaires polycycliques à bords émiettés, ou papulosquameuses d’aspect psoriasiforme, avec dépigmentation séquellaire définitive
– En particulier en présence d’Ac anti-SSA

Lupus érythémateux discoïde = chronique : photosensibilité ±
– Prédomine au visage, autres atteintes possibles (oreilles, cuir chevelu – alopécie, dos des mains et du tronc)
– Association de 3 lésions élémentaires : érythème bien délimité avec télangiectasies ; squames folliculaires « en clou » (hyperkératose), atrophie cicatricielle
– Souvent isolé (atteintes viscérales rares)

Autres atteintes spécifiques (chroniques)
– Lupus timidus : lésions érythémateuses ± infiltrées, papuleuses ou nodulaires non squameuses du visage
– Panniculite lupique : nodules évoluant vers une atrophie cicatricielle « en coup de hache » sur les faces externes des bras et des cuisses
– Lupus à type d’engelures des extrémités
– Lupus verruqueux

> Lésions vasculaires

– Phénomène de Raynaud
– Livedo : diffus, à mailles non-fermées, localisé ou suspendu sur les membres/tronc
– Autres: purpura, vascularite urticarienne, ulcères, télangiectasies périunguéales, hémorragies sous-unguéales en flammèche…

> Autre : alopécie inconstante et réversible (non-cicatricielle) lors des poussées

  • Atteintes pleuro-pulmonaires (15-40%)

Pleurésie séro-fibrineuse à liquide exsudatif
Douleur thoracique, toux, dyspnée
Atteinte interstitielle (rare)

  • Autres signes cliniques

Manifestations rénales (30-50%) : cf. paraclinique et complications

Manifestations cardiovasculaires : cf. complications

Manifestations neuropsychiatriques (20-50%) : cf. complications

Adénopathies non-douloureuses (50%)
Splénomégalie pendant les poussées
Atteinte digestive: HMG, péritonite, rarement hépatite auto-immune ou lupoïde
Atteinte ophtalmo: rétinite (5-20%), atteinte des nerfs oculomoteurs ou du nerf optique

B ) Paraclinique

  • Biologie 1B

Au moment du diagnostic, le bilan s’attache à rechercher les critères ACR et SLICC

> Auto-anticorps : voir aussi item 188 (maladies auto-immunes)

Groupe Anticorps Caractéristiques Fréquence
Anti-nucléaires (AAN) Aspécifique, bonne VPN si titre < 1/160 99%
Anti-ADN Anti-ADN natif Spécifique, taux corrélé aux rechutes, formes sévères et rénales 90%
Anti-histones Lupus induit ++ 50-60%
Anti-ENA (Ag nucléaires solubles) Anti-Sm Spécifique, non-corrélé aux rechutes 10%
Anti-RNP Associé aux myosites et phénom. de Raynaud 30%
Anti-SSA/Ro Lupus néonatal et cutané subaigu 50%
Anti-SSB/La Lupus néonatal
PNCA 0 Spécifique 5% 0
Anti-phospholipides Cf. fiche dédiée
Facteur rhumatoïde IgM Cf. polyarthrite rhumatoïde 20%

> Hypocomplémentémie : C3, C4, CH50

> Atteinte hématologique : hémogramme (cytopénies), haptoglobine, test de Coombs

> Atteinte rénale
– Créatininémie, protéinurie des 24h et sédiment urinaire (protéinurie > 0.5 g/24h, syndrome néphrotique impur) 1D
– Plus fréquente en population pédiatrique et adulte non-caucasienne 1B

> Autres

– VS élevée (80-100% lors des poussées), « dissociée » de la CRP qui s’élève rarement
– Hypergammaglobulinémie polyclonale à l’EPP
– Cytolyse hépatique (60%)

  • Aspects histologiques 1C, 1D

> Biopsie de lésion cutanée 1C (ssi lésions atypiques 1B)

Histologie : hyperkératose, atrophie épidermique, dermite de l’interface (nécrose des kératinocytes basaux), oedème et infiltrat lymphoïde péri-vasculaire et péri-annexiel (formes discoïdes ++)

Immunofluorescence directe : « bande lupique »
– Dépôts granuleux d’Ig (type G, A ou M) et/ou de complément (C1q, C3) à la jonction dermoépidermique
– 90 % des lupus aigus et chroniques, 60 % des formes subaiguës
– Leur présence en peau saine est un argument fort pour une forme systémique

> Ponction biopsie rénale (PBR) 1D : il existe 6 classes dans la description histologique de la glomérulopathie lupique (OMS).

Classe Description Pronostic Fréquence
I Rein normal, dépôts immuns dans le mésangium

excellent

<2%
II GN mésangiale : hypercellularité + dépôts immuns dans le mésangium 15%
III GN proliférative focale (<50% des glom.) :
Prolifération endo ± extra-capillaire ; dépôts immuns mésangiaux ET sous-endothéliaux
Active et/ou chronique

réservé si forme active

30%
IV GN proliférative diffuse (idem mais >50% des glom.) 50%
V Glomérulonéphrite extra-membraneuse (± prolif. mésangiale), dépôts granuleux extra-membraneux

bon en l’absence de SN

10%
VI Forme sclérosée diffuse: >90% de glom. sclérosés mauvais <5%

C ) Synthèse : critères diagnostiques et formes particulières

Des scores diagnostiques, réalisé grâce à des critères cliniques et biologiques, ont été développés par des comités d’experts. Le diagnostic de LES est retenu s’il existe 2, 3 :
– ≥ 4 critères SLICC dont au moins 1 clinique et 1 immunologique
– Ou une histologie de glomérulonéphrite lupique avec des AAN ou Ac anti-ADN

  • Formes particulières 1B

> Lupus médicamenteux

L’atteinte est généralement peu sévère, forme cutanée et articulaire ± sérites et signes généraux, le rein est rarement touché. Ces formes de lupus régressent le plus souvent à l’arrêt du médicament inducteur.

Les Ac anti-ADN natifs sont absents ou présents à titre faible +++, mais on retrouve fréquemment des Ac anti-histones

Lupus médicamenteux : > 80 médicaments identifiés, dans 10 classes thérapeutiques
– Antiarythmiques : quinine, quinidine, procaïnamide
– Antihypertenseurs : diltiazem, méthildopa, β-bloquants, énalapril…
– Psychotropes : chlorpromazine, clobazam, lithium
– Antithyroïdiens : propylthiouracile (PTU)
– Anticonvulsivants : phénytoïne, carbamazépine…
– Antibiotiques : minocycline, anti-tuberculeux, autres…
– Anti-inflammatoires / immunomodulateurs : anti-TNFα, interférons-α, pénicillamine…
– Diurétiques : hydrochlorothiazide
– Divers : simvastatine, L-Dopa…

> Lupus durant la grossesse

Les risque maternofoetaux sont nombreux, les poussées évolutives lupiques sont plus fréquentes et les complications obstétricales surtout liées à un SAPL (thrombose chez la mère, prématurité, RCIU, mort néonatale). Le lupus ne contre-indique pas en soi la grossesse, mais des complications graves, une poussée lupique dans les 6 derniers mois devront faire retarder le projet de grossesse.

> Lupus néonatal

Observé lorsque la mère est porteuse d’anticorps anti-Ro/SSA et/ou La/SSB (rarement anti-RNP), le lupus néonatal disparaît dans les premiers mois de vie mais est parfois responsable de formes graves
– Formes cutanées
– Anémie hémolytique, thrombopénie, HMG / SMG
– Bloc de conduction : souvent à 18-24 semaines de gestation (surveillance échographique rapprochée)

3) Evolution 1B

A) Histoire naturelle / pronostic

Evolution : capricieuse, par poussées entrecoupées de rémissions, 90 % de survie à 5 ans

Facteurs de mauvais pronostic 1A
– Atteinte rénale : 20-30% des néphropathies lupiques évoluent vers l’insuffisance rénale chronique dans un délai de 5-10 ans, en particulier si lésions de classe III ou IV à la PBR
Atteinte du SNC en particulier épilepsie et AVC massifs
– Thrombopénie < 60 G/L
– HTA et ses complications vasculaires
– Syndrome des anti-phospholipides associé
– Mauvaise réponse aux traitements

B) Complications

> Complications rénales : 30-50% des cas, favorisées par les Ac anti-ADN-natif avec souvent hypocomplémentémie de consommation.

Insuffisance rénale chronique
Néphropathie glomérulaire rapidement progressive
Forme chronique évoluant par poussées

> Complications cardio-vasculaires

Péricardites (fréquentes et récidivantes)
Thromboses artérielle ou veineuses : cf. syndrome des anti-phospholipides
Athéromatose accélérée
Vascularite lupique (digestive, rétinienne…)
Endocardite subaiguë (de Libmann-Sacks) : prolapsus de valve mitrale ++ avec épaississement et végétations
Myocardite : troubles de conduction AV, tachycardie sinusale, cardiomégalie et insuffisance cardiaque

> Complications neuropsychiatriques

L’ACR propose une liste de 19 atteintes neurologiques au cours du lupus, parmi lesquelles figurent :
– Pathologie cérébro-vasculaire
– Méningite lymphocytaire aseptique
– Atteinte démyélinisante
– Céphalées
– Dysautonomie
– Myélite, mono- ou poly-névrite, mouvements anormaux type chorée
– Etat dépressif, psychose, confusion aiguë…

4) PEC

A ) Bilan 2

Suivi initial clinique et biologique tous les 3-6 mois ou plus rapproché (mensuel au cours d’une grossesse, d’une forme évolutive), auquel s’ajoutent d’éventuelles autres explorations.

Bilan de suivi systématique d’un LES
NFS, VS, CRP, créatinine
Transaminases, PAL
Ac anti-ADN natif
C3, C4
BU ± bilan rénal si point d’appel : Protéinurie des 24h, sédiment, albuminémie ; PBR si anomalie
Bilan lipidique et glycémie 1 fois par an

Les Ac anti-nucléaires sont bien corrélés au diagnostic mais pas à l’évolution, contrairement aux Ac anti-ADN natif.

B ) Traitement

A l’image de la maladie, le traitement est polymorphe ++, prise en charge multidisciplinaire

  • Mesures générales 1A, 1B

Eviction des facteurs déclenchants (photoprotection, sevrage tabagique…)
Traitement des symptômes et des complications
Prévention de l’athéromatose et des complications liées aux traitements ++

Contraception
– Pas de CI à la contraception oestro-progestative hors poussée et hors SAPL 1A
– Utilisation prudente des oestrogènes (pas de toxicité démontrée mais sur-risque notamment si SAPL), préférer les progestatifs 1B

Vaccination : anti-pneumocoque, anti-HPV chez la femme (si non-réalisée) ± grippe si immunosuppresseurs 2

  • Traitements médicamenteux 2

Le traitement de fond repose sur les antimalariques en 1ère intention, et/ou les corticoïdes s’ils ont été introduits lors d’une poussée (hors AMM). Les principales thérapeutiques du lupus comportent également des AINS notamment pour les formes articulaires / péricarditiques, et des immunosuppresseurs.

Antimalariques de synthèse (chloroquine CQ, hydroxychroloquine HCQ)
– Traitement de fond
– Mécanisme d’action inconnu 1A
– Examen ophtalmo impératif avant de débuter le traitement !

Immunosuppresseurs : formes viscérales graves ou épargne cortisonique
– Cyclophosphamide en perfusions mensuelle (6-12 mois) associées à la corticothérapie (induction)
– Autres : azathioprine, méthotrexate, mycophénolate mofétil (MMF), ciclosporine

  • PEC en pratique 1B

Formes mineures notamment cutanéo-articulaires
– Traitement de fond par AINS, CQ ou HCQ
– ± Corticothérapie faible dose, méthotrexate
– Bélimumab dans les formes réfractaires corticorésistantes ou -dépendantes

Formes pleuro-péricardiques : corticothérapie dose intermédiaire ± colchicine, parfois immunosuppresseurs à visée d’épargne cortisonique

Formes graves (atteinte rénale grave, neuro, cardio, hémato) : prednisone 1-2 mg/kg/j + immunosuppresseurs (parfois IgIV dans les thrombopénies sévères)

Lupus discoïde 2 : corticoïdes locaux, tacrolimus en 2e intention (hors AMM)

Grossesse : on peut continuer à utiliser les corticoïdes, l’HCQ et l’azathioprine

  • PEC de la glomérulonéphrite lupique 1D

Selon les résultats de la PBR

Situation PEC
Classe I et II Abstention thérapeutique
Classe III ou IV active Induction : cortico haute dose + cyclophosphamide (AAM 2) ou MMF (hors AMM 2)
Entretien : MMF ou azathioprine + hydroxychloroquine ± cortico faible dose
Classe V avec sd néphrotique Cortico + (cyclophosphamide / azathioprine / MMF / ciclosporine)
Classe VI Préparation à la dialyse / transplantation

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3 réponses à “Lupus érythémateux systémique”

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Lupus Systémique (Guide maladie chr. – HAS, 2017)

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